Oui, j’ai lu le manuel de l’éco-guerrier de Paul Watson.
Et cette lecture remonte déjà à presque un an. J’y repense parce que, les bateaux de l’association Sea Shepperd n’ont pas pu accéder cette semaine aux îles Feroé où a lieu chaque année un massacre abject de centaines de dauphins pour empêcher que les choses se reproduisent. Ils étaient inderdits de séjour dans le quartier. Bien évidemment.
Je ne vais pas détailler le livre. Il s’agit simplement d’un livre engagé, qui alarme depuis plusieurs années déjà sur la situation de la planète et de ses eaux. Les océans se vident et se polluent par la faute de l’homme, et la terre a besoin de ses océans pour maintenir son air respirable. C’est en ces mots que je pourrais résumer la plus grande catastrophe à laquelle nous contribuons de jour en jour et qui nous pend au nez. Les océans seront complètement vides d’ici 2050. Ce n’est pas si loin. Je ne serai peut-être même pas à la retraite.
150 dauphins ont encore été tués, massacrés hier soir aux Iles Féroé par « tradition ». Si c’est monstrueux, ce n’est pourtant qu’une infime part de ce qui se produit chaque jour dans le domaine maritime.
Ce livre ne traite pas seulement de ce domaine d’ailleurs. Il renferme beaucoup plus que cela, parlant de l’engagement des hommes à préserver leur planète à travers les âges (et ils sont peu nombreux malheureusement). Il parle de ce qu’on pourrait faire, de ce que nous devons arrêter de faire aussi. C’est un livre qui m’a beaucoup appris. Il veille bien en évidence dans mon salon. Venez chez moi, je vous le ferai lire… et vous en parlerai.
Les aventures de Babyface 